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Et si vous pouviez avoir du plaisir à vivre sur Terre, pleinement, sans culpabilité ?

Aujourd’hui, j’aimerais aborder un sujet plus léger, mais ô combien essentiel : la joie.

Cette émotion précieuse nous guide dans nos décisions, nous connecte profondément à notre intuition et nous rend plus vivants et plus légers ! Cette joie est peut-être le langage le plus pur de notre âme.

Quelle est votre relation avec la joie ? Osez-vous la suivre, même quand elle vous invite à défier certaines règles familiales ou sociales ?

Comme le disait si justement Bert Hellinger : “Il est bon signe d’avoir mauvaise conscience, car cela signifie que vous osez réfléchir et agir selon votre propre conscience et non en fonction de la conscience du clan auquel vous appartenez.”

Par amour pour notre système familial, nous suivons des règles plus ou moins conscientes. Afin d’appartenir et de nous sentir aimés, nous préférons parfois suivre une règle que d’être véritablement heureux.

Cela demande un réel courage de suivre sa joie – vous allez peut-être déplaire à votre entourage, bousculer des habitudes, créer des remous.

Examinons quelques situations concrètes :

Si votre famille insiste pour que vous passiez tous les dimanches midi ensemble alors que vous préféreriez rester tranquillement chez vous… Que ressentez-vous lorsque vous décidez de ne pas y aller ? Un pincement de culpabilité ? Ou êtes-vous en paix avec votre besoin de paix ?

Si une collègue organise une soirée où toute l’équipe sera présente, mais que vous n’avez absolument pas l’énergie d’y participer après une semaine épuisante… Y allez-vous quand même pour “faire bonne figure” ? Ou osez-vous écouter votre corps qui réclame du repos ?

Notre intuition s’exprime souvent par la joie – cette sensation d’expansion, de légèreté, d’évidence. Mais nous l’étouffons quand nous choisissons la sécurité des conventions au détriment de notre vérité intérieure.

Un petit exercice pour cette semaine :

Prenez conscience des décisions que vous faites chaque jour. Notez-les dans un carnet et posez-vous simplement ces questions :

  • Cette décision me procure-t-elle de la joie ?
  • Suit-elle une règle qui, au fond, n’a pas vraiment de sens pour moi ?

Le premier pas est d’en prendre conscience. Sans jugement, avec curiosité et bienveillance.

Qu’observez-vous ? Combien de fois par jour agissez-vous par obligation plutôt que par élan ?

Avec légèreté, Sarah

P.S. : Y a-t-il une règle que vous pourriez briser cette semaine, pour suivre votre joie ? Parfois, les petites rebellions sont les plus libératrices…

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